mercredi

...Le Monde: "Arrabal figura mayor del pensamiento libertario... iconoclasata... superdotado...trascendente sàtrapa..."


Le Monde du 29/09:

“Arrabal, figure majeure de la pensée libertaire… iconoclaste… surdoué… transcendant satrape…”

Hommage à Fernando Arrabal, cofondateur du mouvement Panique avec Roland Topor et Alejandro Jodorowsky, auteur de sept films (Viva la Muerte en 1971, J’irai comme un cheval fou en 1973, L’Arbre de Guernica en 1975…), d’une quinzaine de romans (Baal Babylone, L’Enterrement de la sardine…), d’une centaine de pièces de théâtre (Fando et Lis, Le Cimetière des voitures…).
Figure majeure de la pensée libertaire, lutin facétieux porté sur l’extravagance et la provocation, Fernando Arrabal a été nommé Transcendant satrape du Collège de Pataphysique en 1990, une distinction qui honora Marcel Duchamp, Man Ray, Eugène Ionesco, Boris Vian.
Emaillé d’extraits de ses films, de pièces, de conférences et d’interviews, le documentaire de Bernard Léonard (qui est mort pendant le montage du film) et de Pierre Alexis de Potestad suit l’artiste en voyage, énumère ses passions.
Voilà l’iconoclaste à Melilla au Maroc, où il est né le 11 août 1932, puis en Espagne : évocation de la disparition d’un père condamné à mort par Franco et devenu figure mythique, d’une religieuse basque nommée Mercedes à laquelle il doit de lui avoir appris à lire et à écrire, d’avoir gagné un concours de surdoués à 10 ans.
“Ma patrie c’est l’exil”, clame celui qui affiche sa détermination à être génial et saint, à “atteindre l’amour sublime à travers la pornographie, l’érotisme ou l’amour de l’amour”.
Son œuvre se situe entre surréalisme, théâtre de l’absurde, happening brutal, cérémonie de la dérision. Il prône le doute et la confusion, déplore ne pas savoir peindre, vante les échecs et la science, croit en l’indétermination, à la physique quantique, aux mathématiques fractales.
Arrabal visite le Musée du Prado en fauteuil roulant, s’aligne au marathon de Moscou, réclame des spectateurs qui se laisseraient plonger dans leurs délires, leurs fantasmes.
Le procès fait à Michel Houellebecq lui rappelle l’époque où Franco le traîna en justice et interdit toute son œuvre. Avec le Prix Nobel Gao Xingjian, il discute de liberté, pouvoir de résistance et de subversion.

Jean-Luc Douin

Film français de Bernard Léonard et Pierre Alexis de Potestad.


Détail de l’affiche du film documentaire français de Bernard Léonard et Pierre Alexis de Potestad, “L’Art d’être Arrabal”.

(ALT-O) PRODUCTIONS

lundi

Alger, 14 octobre, hommage à F.Arrabal au Festival International.


"...Le directeur du Festival international de Théâtre d'Alger,
monsieur
BRAHIM NOUAL...
... hommage à Fernando Arrabal
le 14 octobre 2010 à Alger
au théâtre national algérien
lors de l'ouverture officielle du
Festival International...
...les artistes algériens seront honorés d'accueillir Fernando Arrabal
comme personnalité et icône du théâtre universel...
...engagé pour le rapprochement de l'humain...
REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE
MINISTERE DE LA CULTURE

mardi

L'ART D'ETRE ARRABAL. film ; cinéma Accatone







L'ART D'ETRE ARRABAL. film
Pays , FRANCE - 2010.
Un film de PIERRE-ALEXIS DE POTESTAD et BERNARD LEONARD ...
christinaburrus@gmail.com
tilla.rudel@gmail.com


....à partir du 29 septembre : L’ART D’ETRE ARRABAL.
Espace Accatone
Cinéma indépendant d'Art et Essai
situé au 20 rue Cujas
derrière la place du Panthéon.
Il est l'un des derniers cinémas du quartier latin à salle unique.
Directeur l'écrivain Xenius Kazik Hentchel
Presse: Marco Epstein

vendredi

A tricikli de Fernando Arrabal. Budapest




de Fernando Arrabal.


Budapest

Directeur. Rendezte: Harsamyi Attila
Apal : Borovics Tomas
Climando Pataki Ferencs
Production: Hetek Csoportajad
A tricikli
de Fernando Arrabal.
Budapest


...conferencia de Arrabal, Durham University: "Everyone censored up to their eyeballs and victims of the dictatorship up to their arses”...




" ...Red de periódicos Vocento- ¿Tiene ya pensada su próxima conferencia? ¿improvisará?

Fernando Arrabal.- La improvisación accede a la panacea de no hacer nada a medias.

Red de periódicos Vocento-.- El día 30 de septiembre pronunciará en Durham University [“Spain: Theatre and Dictatorship”] la conferencia ‘Todos censurados hasta las cejas y víctimas de la dictadura hasta el culo’ (“Everyone censored up to their eyeballs and victims of the dictatorship up to their arses”) ¿la improvisará?

Fernando Arrabal.- La vida ¿es una cascada ininterrumpida de golpes de azar?...
Dublín 30/09/2010 (19:00 h)
Café Literario
Lincoln House,
Lincoln Place 2 Dublin(IRLANDA)
Fernando Arrabal en la conferencia sobre la censura teatral en el mundo Conferencia Esta conferencia internacional reúne a dramaturgos, directores y académicos para debatir sobre la censura en el teatro en un contexto global, desde las restricciones impuestas por los regímenes autoritarios del siglo XX en Europa, África, Asia y Latinoamérica, hasta los desafíos para alcanzar la libertad de expresión todavía presentes en las sociedades democráticas de hoy.
Fernando Arrabal (Melilla, 1932). Escritor, dramaturgo y cineasta español ha publicado indistintamente en francés y castellano. En 1955 se marcha a París gracias a una beca de la Embajada francesa, lugar dónde decide quedarse a vivir. Dedicado fundamentalmente al teatro, cultiva además otros géneros literarios: novela, ensayo y la poesía. Es el autor de l a única carta pública dirigida a Francisco Franco en vida del dictador. Su obra, controvertida y polémica, es conocida a nivel internacional. Durante sus primeros años en París se le identificó con el grupo surrealista, y en 1963 creó junto con Topor y Jodorowsky el movimiento "Pánico". Por otro lado, ha estado vinculado desde el postismo o los beatnik a diversos grupos renovadores contemporáneos. Como cineasta, es autor de varios largometrajes: "Viva la muerte", "Iré como un caballo loco", "El árbol de Guernica", "La odisea de la Pacific", "El cementerio de automóviles", "Libertad color de mujer" y "¡Adiós Babilonia!". Fernando Arrabal
http://www.arrabal.org/
http://laregledujeu.org/arrabal/
http://newperformancestheatre.blogspot.com/
http://twitter.com/arrabalf
http://en.wikipedia.org/wiki/Fernando_Arrabal
Entidades Organizadoras Universidad Nacional de Irlanda, Maynooth
National University of Ireland, Maynooth Universidad de Durham / University of Durham Instituto Cervantes (Dublín) http://www.dur.ac.uk/mlac/tcs/conference/

dimanche

"....solidaridad con la señora doña Mohammadi Ashtiani Sakineh, encalabozada, azotada y amenazada de lapidación...": F.Arrabal


…à mon retour du Brésil j’ai appris … le jour même …

TWITTER du 19 août, 3:41 AM : « F. Arrabal solidaire de Sakineh seule face au fanatisme, ses tumultes et ses fureurs : ‘Non à la lapidation’. »

…immédiatement mes amies…:
« … toutes les femmes qui me font l’honneur de leur amitié… Toutes signent des trois mains et moi de même avec elles… Toutes pensent que même celui qui est sans faute ne peut lancer des pierres, alors qu’ils… Lis Moreau, Christèle Jacob, Laurence Imbert, Patrice Dupuy, Emilie Combes, Lélia Fischer, Emilie Scheffers, Claudine Lagrive, Viviana Piccolo, Mila Moretti, Dobrila Stojnic, Paola Cardarelli, Viveca Tallgreen, Marcelle Pamponnet, Christina Burrus, Mylène Leloup, Graziella Borghesi, Groucha Cizrah, Esther Toledano, Maria-J Valdés, Vanouch Trepxe, Gemma Salem, Kalliopi Ewarchou, Marta Garcia Leal, Yasmina Vazquez, René Georgette Strubel, Phyllis Zatlin, Mira Kim, Orna Porathetc, Nina Hotinskaya, etc… : http://laregledujeu.org/arrabal/2010/08/29/858/elles-signent-toutes-pour-empecher-la-lapidation-de-sakineh/ 29 août 17 :36 PM
***
…de nouveau j’ai écrit:
« Lettre de Fernando Arrabal à Sakineh claquemurée :

« … comme j’aimerais que mes messages du 19 août, 3:41 et du 29 août à 17h 36 soient arrivés à votre cachot, chère Madame Sakineh,
…comme je souhaiterais trouver le pigeon voyageur (ailes des organismes internationaux?) capable de briser votre isolement par cette lettre, dear Mrs Sakineh,
… comme je désirerais que, même claquemurée, vous puissiez connaître notre solidarité face à la menace de sauvagerie inquisitoriale, querida señora doña Mohammadi Ashtiani Sakineh… »
**
… dès qu’au Brésil on a connu l’appel du fils de Sakineh demandant la solidarité de ce pays…
« …mes amies brésiliennes, la “metteuse en scène” (direçao) Marcelle Pamponet, les actrices Simone Brault, Mirella Matteo, Raiça Bomfinc, Vera Pessoa etc…, sont bouleversées par l’entretien de Sajjad Mohammadi Ashtiani avec BHL… Elles signent [comme mes amies de Paris] pour la libération de sa mère Mohammadi Ashtiani Sakineh… » http://laregledujeu.org/arrabal/2010/09/03/862/862/ 3 septembre 2010 à 14:25 PM

samedi

La tour de Babel d'Arrabal. Liège Belgique



«La TOUR DE BABEL»
de Fernando Arrabal

Théâtre Royal de Liège



à partir du 18/03/2011
Théâtre Royal Universitaire de Liège



Mise en scène: De Marco PASCOLINI


Les châteaux en Espagne sont souvent des tours foudroyées...
A la Villa Ramiro, place forte datant d'un autre âge – un âge d'or oublié, un age de visionnaires, celui des constructeurs de la Tour de Babel – vit une Duchesse aveugle, Latidia de Teran. Mais dans les méandres de sa cécité elle voit : les spectres de cet âge d'or, les fantasmes chevaleresques. Elle aime aussi d'un amour fou et platonique son « pèlerin », cet âne qui vit dans les douves loin de sa planète natale, la planète Mars. Pressée par sa « famille » – des nobles peu scrupuleux – de vendre sa propriété, elle se révolte. Et à son appel à la résistance, seuls quelques mendiants pittoresques (un borgne, une ivrogne et un cul-de-jatte) viennent la rejoindre – dont la première motivation est « j'suis venu, j'ai vu et j'ai surtout bu ». De leur côté les nobles ont engagé un tueur à gages. Mais, rongeant les poutres du château, les termites veillent ...

"Les poètes de combat. Les littérateurs d'avant-garde. Ces habitudes de métaphores militaires dénotent des esprits nés domestiques, des esprits qui ne peuvent penser qu'en société. Le seul poète panique et génial: mon admiré Fernando Arrabal". Baudelaire... Charles!

"Triomphe diabolique du dernier roman de Michel Houellebecq?...": F.Arrabal.










...l'éditeur du dernier livre de Michel Houellebecq ("La carte et le territoire", Ed. Flammarion, Paris) le mettra en vente le mercredi 8 septembre... mais on peut déjà trouver le roman au marché noir sur les trottoirs parisiens... quel triomphe!... diabolique?

El testamento del Marqués de Sade... Jean Benoit... F.Arrabal





























El testamento del Marqués de Sade

Jean Benoit era casi un desconocido como todos nosotros. Y también “El mayor pintor de su tiempo” según el creador del movimiento surrealista André Breton. Opinión que comparte Philippe Dagen en el parisiense Le Monde.

Alejandro Jodorowsky me dice, cuando se entera de la ocultación definitiva de Jean Benoit: "Otro pedazo de nuestro espejismo personal que se nos va".
JB nos había pedido a los dos que a nuestra muerte, le regaláramos nuestros huesos para hacer una escultura. Hubiera sido tan alucinante como su “El buldog de Maldoror”. Había realizado este perro con los guantes de piel de las mujeres que le electrizaron… hasta, desmemoriado y casi nonagenario, en su agonía.
[…Jean Benoit: "mi" decorador de la obra "Primera Comunión " y del « Necrófilo »…].
Los tres vivimos en el grupo surrealista, nuestros delirios y nuestros enigmas, haciendo novillos con las vacas sagradas.
Hubo que esperar siglo y medio, después de la muerte del Marqués para que, gracias a Jean Benoit, se celebrara la «Exécution du testament de Sade ». Fue su obra maestra y la más ardiente ceremonia del surrealismo.
Sucedió el 3 de diciembre de 1959 en el domicilio de la poetisa Joyce Mansour y del constructor de aviones Dassault.
A las diez de la noche se celebró el ritual. Incluso los expulsados del grupo fueron invitados. Julien Gracq apareció por primera y última vez en un salón. André Pieyre de Mandiargues vivía una de sus ruptura/reconciliación con Bona. Jacques Herold era ya el Maltraité de peinture. Pero Octavio Paz todavía no era embajador. Ni premio Nobel.
La ceremonia comenzó con una desconcertante apertura. “Modernísima”. Ruidos callejeros. Frases sadeanas. Nada sádicas. Ruido ensordecedor. Túnel o volcán.
Entró Jean Benoit. Deslumbrante. [Con el traje que está hoy en mi antro. Africano. Tres metros de altura. Según me dijo “representa la transferencia simbólica de la tumba del marqués de Sade”. ]
Breton leyó cinco de los puntos del testamento del Marqués. Solemne. Con autoridad. Y un encanto de ardilla de Goliat.
Joyce presidía, pues era su casa, pero sin presidir nada. ¿Como la saltarina egipcia que fue adolescente?
Benoit se desprendió de las piezas de su atuendo. ¿Se iba a quedar desnudo? Las detalló. Una tras otra. Realzando cada una por su maravilloso acento canadiense. Estaba más bello que nunca.
Mimi Parent, su compañera, descollaba. Maîtresse. Pendiente de todo.
Los elementos del traje (¿o debo decir del uniforme? ¿ o del atavío? ¿ o del hábito?) se amontonaron en el suelo. Sabia ¿o automáticamente como lo exige el primer manifiesto? Era un monumento extraño. ¿Significativo?
Benoit pareció que iba a levitar. Como un místico. Su falo ¿también místico? siguió el ritmo del texto. Era evidente que el sexo de J.B. estaba encerrado en la gran funda de madera esculpida hincada en su entrepierna.
Jean Benoit se inspiró con tanta aplicación en el texto que su falo (más bien su funda) se alzaba como es debido. Cuando se esperaba. Y, sin embargo, ante el asombro de todos. Erección que sucedía en los momentos de lectura más apasionada. Breton, según algún malhablado, habría comentado a Joyce Mansour:
- Es extraordinario Jean Benoit, no sólo es el gran pintor visionario de hoy, sino que además se le pone tiesa cuando quiere.
Deslumbrado, André Breton no distinguió el hilo de nylon atado a un dedo de Benoit. Cinta que gobernaba los desplazamientos altaneros de su falo-funda.
Benoit se dirigió a la chimenea. Cogió en su mano un hierro para marcar reses. Instrumento que había preparado como si se tratara de un repujado. Meticulosamente. Con el mismo rigor con que había preparado las cuatro letras S A D E del hierro. Y en el momento álgido se marcó con fuego. La palabra “Sade”. A la altura del corazón.
El pintor chileno Roberto Matta, conmovido, se precipitó para coger el hierro. Ipso facto se marcó sobre la piel el mismo nombre.
Durante un año Benoit, absorto por el entusiasmo, había realizado su hierro de marcar corazones. Tan enfrascado por su labor y su proyecto no comprendió que al marcarse “SADE”, quedó escrito “EDAS”. Poco antes de ocultarse encontró, una vez más, un argumento pánico:
-Llevo en el pecho el nombre del divino Marqués. Pero solamente yo puedo verlo. Frente a un espejo.
Ben Durant me avisa : « … salida con alas y entre sueños de su ex-cómplice… »… cómplice tan juvenil en sus frenesís y sus pasiones.
¿Cómo podremos vivir sin él ? Vamos a seguir bailando por él [... lo repito, pobre de mí, con mis huesos...]. ¡Viva Jean Benoit!

F.Arrabal, París, 15 del mes Falo del año 138 de la Era ’Patafísica, Muerte de Dionysos, superdotado [29-VIII-MMX (‘vulgaris’) ]

jeudi

AFTER READING ARRABAL'S 'ORISON'



FIDIO

AFTER READING ARRABAL'S 'ORISON'


Today yes today

I'm going to be good

and pure like the angels

It will be difficult of course

to know what's very good

and to know what's very bad

So I've bought a bible

It would be to much to ask being like the saints

But we can try

we can try

Colchester,

Mark Anthony Pearce